Petite commune de 400 rouviérois dits los sorehlats ("les ensoleillés") située dans la zone granitique des Cévennes méridionales, Notre-Dame de la Rouvière jouit d'un climat méditerranéen tempéré et offre aux visiteurs des panoramas exceptionnels alternant bancels, serres et valats. Si le chef-lieu est perché à 402m d'altitude, la plupart des hameaux se dispersent au gré d'un paysage très accidenté, depuis le Mazel au point le plus bas à 280m jusqu'au mont Liron qui culmine à 1138m.
De nombreux traversiers, aménagés au cours des siècles, occupent une bonne partie les pentes ensoleillées et plusieurs cours d'eau sillonnent la commune. L'Hérault reçoit, à la sortie du Mazel, les eaux du Reynus et celles de la Valniérette qui descend du Liron puis serpente dans la vallée de Valnières. L'Auréluc prend sa source au col de l'Homme Mort et vient se jeter dans la Valniérette, après avoir creusé ses gorges sous la route qui monte vers Ardailles.
Prés et cultures sur les bancels irrigués alternent avec les chênes verts et les châtaigniers qui recouvrent les versants ; sur les hauteurs on entre dans le domaine des fayards et des résineux, comme sur la route forestière qui conduit au Mont Liron.
Un pont mouton
nier, unique en Europe, atteste encore aujourd'hui des pratiques de bergers transhumants du village et de ses voisins.
Le site coopératif du village
http://nddlr.free.fr forme dans ce paysage de contraste et de diversité un lien socioculturel indispensable de la population.